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Enregistré à Brooklyn à la fin d'une tournée mondiale de deux ans, At pioneer xorks présente Les Filles au sommet de leurs capacités, créant un son qui transcende tous les genres connus entre instruments traditionnels et guitare électrique, un blues touareg mystique.

Après Soul of Morocco en 2013 et Zarabi en 2015, elle franchit avec ce troisième disque un nouveau cap. Elle se rend avec ses musiciens à Berlin afin de réaliser un disque à la fois atmosphérique et dansant, dont la direction artistique a été confiée à la poétesse, chanteuse et oudiste palestinienne Kamilya Jubran. L'orchestration de Daba demeure globalement acoustique, mais quelques sons électroniques habillent pour la 1ère fois les chansons, comme pour évoquer par échos des problématiques plus contemporaines traitées dans les paroles de l'album ; la nature menacée, le sort réservé aux migrants, le statut des femmes, mais aussi une exhortation de vivre pleinement dans le présent. Oum se positionne ainsi comme une Marocaine, une Africaine et une femme du monde convaincue que les barrières culturelles pèsent moins que ce qui peut nous rassembler.

Originaire de Dakar, il a vécu sa jeunesse entre le Canada, le Sénégal, le Rwanda et la Tunisie; il est aujourd'hui établi à Québec. Musicalement, le mariage des genres donne lieu à un univers pop renouvelé. Polyvalent et impliqué, Karim Ouellet s'implique dans toutes les étapes de la création d'une chanson : paroles, musique, mixage, arrangements et réalisation. Sous ses airs d'enfant de choeur se cache en effet une versatilité effarante, alors que d'un morceau à l'autre, il marie soul, pop, électro, folk, rock, et encore avec l'aisance d'un musicien aguerri.

Une fresque historique retraçant la vie de ce prince de la Renaissance, roi guerrier, humaniste, amoureux des arts, protecteur des lettres. Electre 2015

Entrer dans son univers est une expérience que vous ne regretterez pas ! Dans son monde rempli de couleurs, l'amour est roi et l'afropop est le style musical qu'elle a choisi pour l'exprimer. Après son premier album solo (Djalle sorti en 2015), né de la collaboration et d'un travail intense de trois ans, entre Valérie Ekoume et Guy Nwogang, compositeur, batteur-percussionniste, également réalisateur de l'album, voici venir Kwin na kingue.

Septembre 1939. Varsovie ploie sous les bombes allemandes. Au moment où Radio Pologne est réduite au silence, un jeune pianiste talentueux d'origine juive interprète le Nocturne en ut dièse mineur de Chopin. Six ans plus tard, lorsque les émissions reprendront, ce sera avec le même morceau, interprété par le même pianiste. Grand prix des lectrices de Elle 2002 (document). ­Electre 2020

Dans cette étude sur l'éruption du Vésuve à Pompéi en 79, l'historien remet en cause les idées reçues et relate la vie quotidienne des habitants au pied du volcan. ­Electre 2019

Perfil représente un retour aux racines de Dulce Pontes, aux artistes et aux histoires qui l'inspirent et au début d'une nouvelle ère dans sa discographie. Inclus, le titre Amapola, une chanson traditionnelle des années 1920 de José Maria Lacalle Garcia, interprétée pour la première fois entièrement en portugais. Produit par Dulce Pontes et coproduit par le musicien cubain Yelsy Heredia, cet album passionnant est l'un des projets les plus personnels de l'artiste. Il évolue entre le fado et la musique populaire portugaise et ouvre des horizons au jazz et à la musique latine.

Rescapée de la Shoah, l'auteure raconte son arrestation par la Gestapo en mars 1944, sa déportation à Auschwitz-Birkenau, les souffrances endurées et ses efforts pour survivre. Pour ce récit, G. Kolinka a reçu les remerciements du jury du Prix André Malraux 2019. ­Electre 2020

Avec Satingarona pt. 2, The Bongo Hop tient, deux ans après un premier album unanimement salué, les promesses d'un prédécesseur qui avait posé un regard neuf sur les métissages afro-caribéens. Toujours accompagné de sa complice Nidia Gongora (Quantic, Ondatropica) ou du producteur Patchworks (Voilaaa), le globe-trotter bordelais repart à la recherche de nouveaux terrains de jeu, aux cotés du rappeur Greg Frite (ex-Triptik), du chanteur haïtien Kephny Eliacin, ou encore de Laurène Pierre-Magnani (Lord Rectangle) et Cindy Pooch (Tikaniki). Il évolue, surprend, tout en restant fidèle à ses deux fondements : le souffle et la danse.

Guitares, guns et fièvre des Caraïbes... Telle une Patti Smith créole, Moonlight Benjamin fusionne le vaudou haïtien et le blues rock des Black Keys, Dr John ou des White Stripes ! Après un premier album, Siltane, salué par la critique internationale et une tournée 2019 de 60 dates, la prêtresse vaudou enfonce le clou et revient avec ce second opus porté comme le précédent par les guitares et les compositions de Matthis Pascaud. Entièrement chanté en créole, Simido nous offre une musique fusion totalement assumée, où la voix puissante de Moonlight Benjamin se dispute aux guitares tranchantes et saturées.