Après une mixtape bluffante (Beats & beast, en 2013), un premier album claque (The revolution. And the day after, en 2015) et le dernier, plus soul que jamais, Sounds of the yesteryear, en mars 2016, on comprend que sa vision à 360 englobe avec gourmandise toute la Great Black Music. Mais celui qui se dit X (comme Malcolm, histoire de balayer lui aussi son nom d'esclave) excelle dans la fusion de toutes ces valeurs auxquelles on ajoute à la soul de la Motown, celle du Michael Jackson de 1979 (Off the wall est un album de chevet) voire la dramaturgie de Nina Simone et même un peu de jazz.