« Au XVIIIe siècle, à la cour ou dans les salons, la punchline s'appelle un épigramme : il s'agit d'exécuter un adversaire intellectuel ou un concurrent mondain dans une formule ironique qui rassemble le plus d'électricité en le moins de mots. Remplacez le décor de l'aristocratie par celui des cités, les châteaux par des tours, les jardins par des squares, les carrosses de marquis par des comiques en Merco? et la punchline est née » (extrait de la préface de Thomas A. Ravier)